par Foo Yun Chee
BRUXELLES (Reuters) – Le géant américain du commerce en ligne Amazon ne peut être tenu directement responsable de la vente de contrefaçons de la marque Louboutin sur sa plateforme, a estimé jeudi l’avocat général de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE).
Christian Louboutin, le créateur français des célèbres escarpins à semelle rouge, a introduit deux recours en 2019 au Luxembourg et en Belgique contre le géant américain, estimant que le site de vente en ligne portait atteinte à ses droits en affichant des publicités pour des chaussures à « semelle rouge » sans son consentement.
Les escarpins iconiques ne se vendent qu’en boutique, pas en ligne.


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